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La Convention nationale de l’accueil et des migrations: une « offensive positive », par Olivier Favier.

 
« Grande-Synthe est l’un de ces lieux prétendument périphériques où se conjuguent aujourd’hui réel et imaginaire, lucidité et créativité, loin des peurs et des fantasmes qui rendent les catastrophes possibles. »

Olivier Favier

Faire entendre leurs voix, montrer leurs visages, leur donner une place, par Marie-Pierre Barrière.

 
« La profondeur des échanges en tout cas m’a renvoyée à l’intime intuition que se joue dans la rencontre avec ces jeunes quelque chose de fondateur pour construire une société humaniste et inclusive. »

Marie-Pierre Barrière

A gesture for Denko, by Moussa Badjè Doumbia.

 
« I wish to take this opportunity to thank from the bottom of my heart all those who made a gesture for Denko. I reiterate my unshakeable support to the educator whois at risk of losing her job for having expressed her personal distress. In memory of Denko, we must pursue our struggle for a better welcome for isolated minors, but mostly, for that of all men in the world of mankind. »

Moussa Badjè Doumbia

Who killed Denko Sissoko? by Olivier Favier.

 
« Seen from the window of room 796 from which on January sixth last, a sixteen-year-old teenager from Mali jumped out into the void in circumstances still partially unexplained, the city lights give the landscape a strangely inaccessible appearance. We are at a thirty minute walk from the center, on the heights of la Résidence Belleveu. In the evening haze, the modest Marne county town takes on the image of a dreamed-about Europe. »

Olivier Favier

Quatre enfants de Châlons, par Marie-Pierre Barrière.

 
« Voici l’histoire qui aurait pu être celle de Denko SISSOKO s’il n’avait pas sauté du 8ème étage. Voici le destin des jeunes qui, de toute la force de leur volonté, ont franchi des frontières et des mers et rejoint notre pays pour venir chercher ici ce que la vie, injuste, ne leur avait pas donné là-bas. »

Marie-Pierre Barrière

Bambo ou les rêves noyé, par Olivier Favier.

 
« Je suis venu d’abord pour me sauver. »

Bambo

Jeunes Égyptiens sur la nouvelle route des migrants, par Stefano Liberti.

 
« Entre l’ouverture de nouvelles routes, la fermeture des vieilles et les engagements pris par le gouvernement sur les identifications, tout semble indiquer que le débarquement d’aujourd’hui à Augusta n’est que le prélude d’un problème qui dans les prochains mois semble destiné à devenir explosif. »

Stefano Liberti

Chroniques d’exil et d’hospitalité, par Olivier Favier.

 
« À tous ceux qui m’ont offert une chaise, à manger et à boire dans les camps de Calais et d’ailleurs, pour toutes les histoires, les poignées de main, les sourires, les accolades, pour toute cette chaleur humaine qui est la richesse de ce monde. »

Olivier Favier

Tahani dans le jardin du poète, par Olivier Favier.

 
« Lorsque je lui dis que je suis heureux de l’avoir enfin rencontrée, ses yeux s’éclairent d’une joie inattendue. Nous sommes au terme de notre entretien et pour la première fois, je la vois sourire au présent. »

Olivier Favier

José ou l’identité, par Olivier Favier.

 
« José est un homme honnête et fier, timide mais inébranlable, qui sait précisément ce qu’il attend de lui et ce qu’il peut offrir aux autres. De toutes les images que j’ai prises, se détache celle qu’il a lui-même composée, s’appuyant sur la balustrade du pont, les yeux tournés vers le photographe, tournant le dos aux lumières de la ville. »

Olivier Favier