Mot-clé : Réfugiés

Bambo ou les rêves noyé, par Olivier Favier.

 
« Je suis venu d’abord pour me sauver. »

Bambo

Jeunes Égyptiens sur la nouvelle route des migrants, par Stefano Liberti.

 
« Entre l’ouverture de nouvelles routes, la fermeture des vieilles et les engagements pris par le gouvernement sur les identifications, tout semble indiquer que le débarquement d’aujourd’hui à Augusta n’est que le prélude d’un problème qui dans les prochains mois semble destiné à devenir explosif. »

Stefano Liberti

Chroniques d’exil et d’hospitalité, par Olivier Favier.

 
« À tous ceux qui m’ont offert une chaise, à manger et à boire dans les camps de Calais et d’ailleurs, pour toutes les histoires, les poignées de main, les sourires, les accolades, pour toute cette chaleur humaine qui est la richesse de ce monde. »

Olivier Favier

José ou l’identité, par Olivier Favier.

 
« José est un homme honnête et fier, timide mais inébranlable, qui sait précisément ce qu’il attend de lui et ce qu’il peut offrir aux autres. De toutes les images que j’ai prises, se détache celle qu’il a lui-même composée, s’appuyant sur la balustrade du pont, les yeux tournés vers le photographe, tournant le dos aux lumières de la ville. »

Olivier Favier

Calais, un bidonville en état d’urgence, par Olivier Favier.

 
« En un peu moins de deux ans, le nombre des migrants présents sur la commune de Calais a été multiplié par dix. L’unique bidonville d’état, qui a remplacé à sept kilomètres du centre les différents camps et squats au printemps dernier, a atteint jusqu’à six mille habitants à l’automne. Depuis début juin, la moyenne est pratiquement d’un décès par semaine, la zone portuaire et les voies d’accès sont désormais hérissées de barrières et tout contact est coupé entre la population calaisienne et les candidats au passage vers l’Angleterre. À ces derniers s’ajoute une population d’exilés qui s’installent dans le camp car c’est l’un des rares lieux où ils sont « tolérés » sur le territoire français, sans même le désir de passer la frontière. Pour ces délaissés du « pays des droits de l’homme », aucun état d’urgence n’a été déclaré. »

Olivier Favier

Calais, 13 novembre 2015, par Olivier Favier.

 
« Dans notre monde où l’information circule en temps réel, le réel s’écoule partout ailleurs comme le temps. »

Olivier Favier

Adam, de sang et d’eau, par Olivier Favier.

 
« Quand je l’ai rencontré, il se tenait timide, très droit, très grand et un peu maigre, auprès d’une dame venue de Paris. »

Olivier Favier

La conscience et l’enfant mort, par Sylvain Petit.

 
« Peut-être que nous sommes nombreux à caresser de vains espoirs.
Mais tant que nous serons vivants, nous continuerons à espérer dans nos frères.
Ne pas le faire, c’est être mort. »

Sylvain Petit

La richesse de ce monde, par Olivier Favier.

 
« La solidarité en effet n’est pas un simple impératif moral qui voudrait qu’on prête une attention privilégiée aux plus faibles. C’est une conception de la vie qui voit en l’autre la première des richesses. »

Olivier Favier

Abakar ou la disparition, par Olivier Favier.

 
« Dans un monde qui ne veut pas de lui, Abakar a choisi de disparaître. Qui saura le retenir? »

Olivier Favier