Mot-clé : Droits de l’homme

La Convention nationale de l’accueil et des migrations: une « offensive positive », par Olivier Favier.

 
« Grande-Synthe est l’un de ces lieux prétendument périphériques où se conjuguent aujourd’hui réel et imaginaire, lucidité et créativité, loin des peurs et des fantasmes qui rendent les catastrophes possibles. »

Olivier Favier

Mayak, 1957 : le combat de Nadezhda Kutepova, par Olivier Favier.

 
« Sociologue, avocate, militante antinucléaire et présidente de l’association « Planète des espoirs », Nadezhda Kutepova vient de demander l’asile en France. »

Olivier Favier

Organiser les migrations, entretien avec François Crépeau.

 
« Comme les gens qui sont venus de façon irrégulière fuyant l’Allemagne nazie ou l’Italie fasciste ou fuyant l’Espagne franquiste, les gens qui sont venus de façon irrégulière ont fait le bon choix pour eux-mêmes et pour leurs enfants et leurs enfants seront fiers de ce qu’ils ont fait. C’est du cran de l’endurance et du courage. À leur place, nous pourrions ne pas avoir le même courage, et c’est ce qui est très encourageant. »

François Crépeau

Calais, un autre cercle au purgatoire, par Olivier Favier.

 
« Cette nuit je pense à ce bras de mer dérisoire et infranchissable qui sépare ces deux grandes nations si fières de leur universalité, l’Angleterre des libertés individuelles et la France des droits de l’homme. À ces deux grandes nations qui ont appris au monde entier, que les hommes avaient un corps dont ils pouvaient disposer et qu’ils naissaient et demeuraient libres et égaux en droits. »

Olivier Favier

Les droits inhumains, par Carlo Bordini.

« Les hommes, devant les horreurs que les conflits armés et les conflits d’intérêt comportent, ont le droit de garder leur santé mentale. Ils peuvent ainsi:
refouler les conséquences de leurs actes;
considérer comme inévitable leur propre iniquité;
penser être dans le juste;
penser agir pour le bien de l’humanité;
penser que le mal est de toutes façons inévitable;
considérer les êtres humains, dans l’ensemble des êtres vivants, comme les seuls ayant des droits.

Tous les hommes ont le droit d’éprouver de bons sentiments. »

Carlo Bordini