Mot-clé : Davide Enia

Italie-Brésil 3 à 2 (Extrait 3: Paolo Rossi), par Davide Enia.

« Durant la partie, Paolorrossi, c’est un peu comme s’il n’était pas là.
Comme s’il n’existait pas plutôt.
Voilà. Comme s’il n’existait pas.
Mais comment quelqu’un qui n’existe pas peut-il marquer un but ?

Mais Paolorrossi n’était pas un joueur de football.

Paolorrossi était un roman. »

Davide Enia

Italie-Brésil 3 à 2 (extrait 2: La « start » de Kiev), par Davide Enia.

« Quiconque était dans le stade raconte pourtant que même en cet instant l’instinct du gardien de but fut plus fort que tout chez Nikolai Trusevich, et cet unique projectile qui le tua, Nikolai Trusevich le para avec le cœur. »

Davide Enia

Italie-Brésil, 3 à 2 (Extrait 1: Garrincha, l’ange bossu), par Davide Enia.

« En brésilien, garrincha c’est le nom d’un petit moineau : si fragile et si faible qu’il suffit d’un coup de vent pour le prendre et l’emporter… mais ce gamin-là, boiteux… maigre… le garrincha : c’est une demi-portion, et il veut faire du football, il s’entraîne : tout seul, contre un mur avec une balle de chiffons…  »

Davide Enia

Théâtre-récit

  Quelques réflexions préalables: Notes sur le théâtre-récit, par Olivier Favier. Ce que parler veut dire, notes sur une mise en scène, par Olivier Favier. Pour plus d’informations sur la scène italienne contemporaine, on consultera le site Italinscena. Voir aussi: Les nouvelles dramaturgies italiennes. Des tréteaux dont on fait les rêves, par Olivier Favier. MarcoLire la suite…