« Quand l’imagination
découvre l’invention de soi-même
elle se lasse
d’inventer la réalité
les heures n’existent plus, ni les jours, l’existence et la vie se confondent. »
Carlo Bordini
« Quand l’imagination
découvre l’invention de soi-même
elle se lasse
d’inventer la réalité
les heures n’existent plus, ni les jours, l’existence et la vie se confondent. »
Carlo Bordini
« Le laboratoire italien, baromètre européen du meilleur et du pire, annonce un ciel d’orage pour nos démocraties. À l’automne 2012, pour la première fois, plus de la moitié des électeurs siciliens n’ont pas voté aux élections régionales. L’“antipolitique” a donc bien triomphé, mais en-dehors des partis. »
Olivier Favier
« Me voici devant ton sépulcre, Hermengarde,
pour pleurer ta chair pauvre et pure, qu’aucun de nous n’a vu pourrir. »
Lêdo Ivo
« Brûle tout ce que tu peux. »
Lêdo Ivo (1924 -2012)
« Juillet 60 ne devint un point de référence pour aucune force politique. On n’en parla plus, ni pour l’exalter ni pour l’exécrer. Je crois que cela vient du fait que ce fut un mouvement qui glissa des mains de tout le monde, et qui aurait pu devenir un exemple dangereux. On s’en servit puis on le mit à l’écart: mais il vaudrait la peine aujourd’hui d’en rappeler l’existence. »
Carlo Bordini
« C’est aussi sa nuit du retour
dans cette obscurité remplie de conteneurs brûlés. »
Massimiliano Damaggio
« The No Global activists in Seattle, the Indignados, the Occupy Wall Street demonstrators, everyone who is trying to struggle for their own and other people’s survival by subverting the old schemata and starting from scratch, by trying to create new forms that disregard the “progressive” movements of old in all their various guises, they are the saints of our time. But I think humankind can only be saved by a new religion. Because we eat meat. »
Carlo Bordini
« j’ai rendu visite à un ami en train de mourir.
il me pardonna d’être vivant. »
Carlo Bordini
« cela n’est pas le rêve d’un poète
soyez en sûrs »
Carlo Bordini
« me surprendre la nuit à sourire
en parlant avec toi, qui
n’es pas là »
Carlo Bordini