« En attendant la fin du monde, Maurizio Leonardi continue de montrer des scènes qui se jouent de l’Histoire, comme si, dit-il, « on ne pouvait rien y changer ». »
Olivier Favier
« En attendant la fin du monde, Maurizio Leonardi continue de montrer des scènes qui se jouent de l’Histoire, comme si, dit-il, « on ne pouvait rien y changer ». »
Olivier Favier
« De la vingtaine de films qu’il a interprétés, il dit n’avoir choisi que ceux dont le scénario l’avait pleinement séduit. Il tourne souvent l’été, pour continuer à être ce qu’il demeure et ce qu’il veut continuer d’être: un infatigable acteur de théâtre, celui qui, par son travail, porte face au public la responsabilité du texte qu’il a choisi d’interpréter. Au cinéma affirme-t-il, la responsabilité ultime appartient au réalisateur. À bien y réfléchir, rien n’est moins évident. De ce cinéma en renaissance, on se souviendra de Toni Servillo autant et parfois plus que des réalisateurs qui l’auront dirigé, comme on salue encore, à un demi-siècle de distance, Vittorio Gassman et Marcello Mastroianni, Nino Manfredi et Gian Maria Volonté. »
Olivier Favier
« La décharge illégale surgit autour d’un monticule sous lequel on trouve de tout. Sur cette plaine à perte de vue interrompue seulement, tout au fond, par le Vésuve, chaque monticule cache un monstre qu’il vaut mieux ne pas réveiller. »
Angelo Mastrandrea