« En attendant la fin du monde, Maurizio Leonardi continue de montrer des scènes qui se jouent de l’Histoire, comme si, dit-il, « on ne pouvait rien y changer ». »
Olivier Favier
« En attendant la fin du monde, Maurizio Leonardi continue de montrer des scènes qui se jouent de l’Histoire, comme si, dit-il, « on ne pouvait rien y changer ». »
Olivier Favier