« Son embarras est grand lorsqu’un beau matin, son journal se prononce contre le gouvernement ; son journal qu’il estime, qui le compte parmi ses plus anciens abonnés, à qui il adresse le montant de sa souscription patriotique, dont le porteur le connaît et le salue par son nom. En voilà pour toute une journée d’incertitude et de malaise. »
Anaïs Bazin