« Mogadiscio se présente comme un ensemble gai et coquet, dans le blanc des maisons fines et anguleuses, paresseusement étendues et nimbées de torride lumière, le long de la côte léchée tout autour par la mer.
Quand le bateau s’approche, la ville commence à présenter des profils plus nets et plus clairs, de sorte qu’on distingue aussitôt comment elle se divise en deux parties nettement séparées l’une de l’autre par un palais qui domine au milieu et qui est la résidence du Gouverneur. Ce sont deux gros bourgs reliés entre eux par cet édifice majestueux. »
Luigi Robecchi Bricchetti