« À perte de murailles, à perte de grands jours, à perte d’ombres sensibles, à perte de musique de branchages, de dentelles mentales toujours possibles, à perte de jeunesse, notre mémoire saigne et sourit. »
Paul Nougé
« À perte de murailles, à perte de grands jours, à perte d’ombres sensibles, à perte de musique de branchages, de dentelles mentales toujours possibles, à perte de jeunesse, notre mémoire saigne et sourit. »
Paul Nougé
« Tandis qu’un oiseau de pierre
vole
dans un ciel peint
de nos visages
adieu soleil,
triste sur l’habit noir. »
Carlo Bordini