« En 1995, l’extradition de Priebke est un gage de bonne moralité offert par le président Carlos Menem, dans l’espoir de faire oublier que les responsables de la dictature, qui ont fait « disparaître » quelques trente mille personnes de 1976 à 1983, ne sont toujours pas jugés. Mieux, c’est un ancien lieutenant des services spéciaux, Jorge Olivera, devenu avocat durant les années 1980, qui est chargé de sa défense. »
Olivier Favier