« En rentrant, j’ai appris qu’un Érythréen de 26 ans était mort à Calais le 25 octobre, la veille du décès de Rémi Fraisse. C’est le douzième migrant à perdre la vie dans cette ville depuis le début de l’année. Mais c’est aussi le genre d’informations qui n’intéresse plus guère que la presse régionale et les sites militants.
De leur côté, le pouvoir et la rue continueront de dormir. Les Parisiens ne sont pas des sauvages. »
Olivier Favier