« Je suis encore debout. Des paroles figées dans la décrépitude magnifique. Cette simple conscience que la vie est encore érigée dans l’instant, qu’importent les poussières qui tombent de mes ruines, vivre est toujours laisser une part de soi à la mort.
C’est de là que (j’écris) je parle…
De mes ruines. »
Jean-Luc Raharimanana