« Un an après, je suis retourné à Athènes, pour éveiller une foule de fantômes, passer sous nos portiques anciens, zigzaguer entre les conteneurs, respirer les motos, m’éblouir de lumière, m’accorder à notre mer commune et diagnostiquer l’oppression, qui est là, entre le Parlement et les terrains vagues de la plaine venteuse de l’Attique, qui nous attend, nous et tout ce que nous avons à cacher et à chérir. »
Léonard Vincent