« Il y a, dans quelques parties de la Basse-Normandie, —et notamment dans la presqu’île du Cotentin, — des paysages tellement ressemblants à certains paysages d’Angleterre, que les Normands qui jetèrent l’ancre de l’une à l’autre de ces contrées purent croire, à ces places du pays qu’ils venaient de conquérir, n’avoir pas changé de patrie. »
Jules Barbey d’Aurevilly