« Les cabanes ont gardé leur caractère hétéroclite. Ceux qui, venus du Portugal, d’Espagne ou d’Italie, ont connu la précarité des Trente Glorieuses, les appellent encore les baraques. La taule et le bois y voisinent avec les matériaux de récupération. On y élève parfois des lapins ou des poules. »
Olivier Favier