« Dans l’attente d’un nouveau rendez-vous en préfecture, leur séjour est autorisé jusqu’au 27 novembre. Au-delà, ils risquent de se voir signifier une expulsion vers un pays qui les a torturés. Parvenus en Hongrie, craignent-ils encore, on pourrait aussi décider de les renvoyer au Tibet. »
Olivier Favier