« Le passionné ne vit que de signes, signes qui viendront confirmer – et tôt ou tard infirmer – la justesse de ses sentiments. Or ces signes, on le sait, sont extérieurs à l’amour véritable. Ils viennent précisément en substitut à l’être qu’à aucun moment le passionné ne souhaite ramener à sa réalité. »
Olivier Favier