Mot-clé : Guido Gozzano

L’amie de grand-mère Speranza, par Guido Gozzano.

« Loreto empaillé et le buste d’Alfieri, de Napoléon,
les fleurs encadrées (les bonnes choses de très mauvais goût!) »

Guido Gozzano

Les trois talismans, par Guido Gozzano.

« Quand les poules avaient des dents
Et que la neige tombait noire
Écoutez moi bien les enfants
Écoutez, écoutez l’histoire »

Guido Gozzano

Contes

Les textes sans lien ne sont pas encore en ligne. Walter Benjamin Le narrateur (première partie). Le narrateur (deuxième partie). Guido Gozzano Les trois talismans. La danse des gnomes. Neigefine et Fleurdavril. Le flambeau des désirs. Le lièvre d’argent. La chemise de la trisaïeule. Eugène Mouton (Mérinos) La fin du monde.

Poèmes par auteur

  Les titres qui ne sont pas associés à des liens ne sont pas encore en ligne. Ubax Cristina Ali Farah (italien, Somalie-Italie) Déchirure Rouge Rodolfo Alonso (espagnol, Argentine) Crépuscule de Vénus Flore et faune Maya Angelou (étasunienne, États-Unis) Je m’élève encore Guillaume Apollinaire (français, France) Zone. Les Saisons. Louis Aragon (français, France) Poème àLire la suite…

Les choses qui font le dimanche, par Corrado Govoni.

« Le son noir et blanc du piano.
Les sœurs blanches bandées comme des blessures.
Les prêtres noirs.
Les pensionnaires gris.
Le bleu du ciel serein.
Les promenades des amants.
Les promenades des malades. »

Corrado Govoni

Haute simplicité, Entretien avec Carlo Bordini

« Je crois qu’Apollinaire est le seul poète à avoir laissé sa trace, sa musique dans mon souvenir. J’aime sa lucidité qui se conjugue avec un style rêveur et visionnaire, j’aime qu’il soit en même temps un poète narratif, un poète essayiste et un poète expérimental. Je pense que Zone est un poème qui, relu maintenant, à quelques cent années de distance, nous explique encore avec lucidité le monde dans lequel nous vivons, et nous enseigne à être tragique sans mélodrame, à raconter le réel en le faisant devenir irréel, à unir le vécu et le lyrisme à l’imagination. J’aime le long alexandrin d’Apollinaire, son parfum d’avant-garde. Ce qui me plaît en outre chez Apollinaire c’est l’apparente simplicité de son vers, qui prend une force olympienne. »

Carlo Bordini, 2010.