Mot-clé : Guadalupe Grande

Textos originales en español y traducciones en español.

Rodolfo Alonso (español, Argentina) Crepúscolo de Venus Flora y fauna Mario Benedetti (español, Uruguay) Táctica e estrategia extraído de El lado oscuro del corazón , Eliseo Subiela (Canada / Argentina 1992) Non te salves extraído de El lado oscuro del corazón , Eliseo Subiela (Canada / Argentina 1992) Rostro de vos extraído de El lado oscuro del corazón, Eliseo Subiela (Canada / Argentina 1992) Defensa de laLire la suite…

Testi originali italiani e traduzioni in italiano.

I testi sono presentati prima in francese, poi nella versione originale. Quando la versione originale non è in italiano, la traduzione italiana è presentata prima. Petizione: Le marce della solidarietà: un movimento civile europeo. Interviste e articoli: Africa centrale, 1899: la missione Voulet-Chanoine nel cuore di tenebra, intervista a Chantal Ahounou. Traduzione di Sara Nigro.Lire la suite…

Poèmes par auteur

  Les titres qui ne sont pas associés à des liens ne sont pas encore en ligne. Ubax Cristina Ali Farah (italien, Somalie-Italie) Déchirure Rouge Rodolfo Alonso (espagnol, Argentine) Crépuscule de Vénus Flore et faune Maya Angelou (étasunienne, États-Unis) Je m’élève encore Guillaume Apollinaire (français, France) Zone. Les Saisons. Louis Aragon (français, France) Poème àLire la suite…

Brève histoire et brève description du festival de poésie de Medellín, par Carlo Bordini.

« Je veux faire à ce propos une considération qui me semble importante. L’engagement civil des poètes, artistes et intellectuels en Colombie ne doit pas être confondu, à mon sens, avec la vieille attitude de l’intellectuel engagé, commune en Europe dans les décennies qui ont suivi la deuxième guerre mondiale. Là l’intellectuel se considérait comme différent du peuple, il allait vers le peuple; ici les intellectuels sont le peuple; mutation anthropologique qui est advenue dans le monde entier désormais depuis bien longtemps et qui est probablement irréversible. »

Carlo Bordini

Meditazioni in anticamera, di Guadalupe Grande.

« Liverpool non esiste.

Questo sa la donna che si siede dietro i vetri dell’aeroporto a veder passare il fiume Mersey,

un fiume che assomiglia alla misericordia ma lungo il quale non risaliranno i salmoni: non arriveranno al torrente, non attraverseranno il tunnel dell’orso, non deporranno uova sulla cieca obbedienza delle bussole. »

Guadalupe Grande

Méditations dans l’antichambre, par Guadalupe Grande.

« C’est ce qu’elle regarde aujourd’hui dans le fleuve Mersey. À la fin, tout ce qui n’existe pas forme une carte de l’autre rive.

C’est pourquoi aujourd’hui Liverpool n’existe pas, de l’autre côté de l’eau. De l’autre côté de la vitre. »

Guadalupe Grande

La fuite, par Guadalupe Grande.

« J’ai fui, c’est vrai. Et puis après…
Fuir est un naufrage,
une mer sur laquelle tu cherches ton visage, inutilement,
au point de te changer en naufragé de sel,
cristal sur lequel brille la nostalgie. »

Guadalupe Grande

Gatte partorienti, di Guadalupe Grande.

« Così ascolti le cose della tua vita come il miagolio di un gatto in fondo al giardino »

Guadalupe Grande

Et les chattes mettent bas, par Guadalupe Grande.

« Tu écoutes le chat Puis tu as vu un homme torse nu et sans bras au bord de la rue tu as frôlé la jambe perdue dans le pantalon replié sur la cuisse et tu as vu que la mort est un bouquet de roses en plastique attaché à un réverbère

et tu t’es demandée quel mot n’est pas une onomatopée indéchiffrable pour suivre l’obscurité »

Guadalupe Grande