Mot-clé : Antonio Gramsci

Je hais le nouvel an, par Antonio Gramsci.

« Je veux que chaque matin soit pour moi une année nouvelle. Chaque jour je veux faire les comptes avec moi-même, et me renouveler chaque jour. »

Antonio Gramsci

Préface, par Michele Zaffarano.

 
« En juin 1920
sur Ordine Nuovo
Gramsci écrit
que lorsqu’en économie
lorsqu’en politique
il y a une classe
(c’est la classe bourgeoise)
qui décide de tout
le processus révolutionnaire
(concret)
ne devient réalité
que dans des lieux
qui sont des lieux
souterrains et obscurs
dans l’obscurité des usines
(par exemple)
dans l’obscurité des consciences
(par exemple). »

Michele Zaffarano

Je hais les indifférents, par Antonio Gramsci.

 
« L’indifférence œuvre puissamment dans l’histoire. Elle œuvre passivement, mais elle œuvre. Elle est la fatalité; elle est ce sur quoi on ne peut pas compter; elle est ce qui bouleverse les programmes, ce qui renverse les plans les mieux établis; elle est la matière brute, rebelle à l’intelligence qu’elle étouffe. »

Antonio Gramsci

Giovanni Gentile: le chantre du fascime devenu « penseur en acte », par Olivier Favier.

« L’institut Culturel italien de Paris l’annonce comme l’une de ses manifestations. Le samedi 2 février 2013, dans les locaux de la Sorbonne, se tiendra un colloque sur le philosophe italien Giovanni Gentile, dont les éditions Hermann publient deux ouvrages. Des universitaires français et italiens prendront part à la célébration, par ailleurs spécialistes de Bergson, Schmitt, Hegel, Nietzsche et Heidegger. Ces noms mis bout à bout vous font dresser l’oreille? Vous avez bien mauvais esprit. »

Olivier Favier