« La lande de Lessay est une des plus considérables de cette portion de la Normandie qu’on appelle la presqu’île du Cotentin. »
Jules Barbey d’Aurevilly
« La lande de Lessay est une des plus considérables de cette portion de la Normandie qu’on appelle la presqu’île du Cotentin. »
Jules Barbey d’Aurevilly
« – … Êtes-vous allé parfois à Savigny? – fit le docteur, en s’interrompant tout à coup et en se tournant vers moi. »
Jules Barbey d’Aurevilly
« Il y a, dans quelques parties de la Basse-Normandie, —et notamment dans la presqu’île du Cotentin, — des paysages tellement ressemblants à certains paysages d’Angleterre, que les Normands qui jetèrent l’ancre de l’une à l’autre de ces contrées purent croire, à ces places du pays qu’ils venaient de conquérir, n’avoir pas changé de patrie. »
Jules Barbey d’Aurevilly
« En Libye, Rodolfo Graziani met en place des colonnes mobiles sur le modèle de Gallieni à Madagascar. Il utilise les bombardements au gaz en 1928 -une technique éprouvée par les Français pendant la guerre du Rif- et ouvre 16 camps de concentration en Cyrénaïque -à la suite des britanniques durant la guerre des Boers. Les déportés sont au nombre de 100 000 -pour une région qui au recensement turc de 1911 compte un peu moins du double d’habitants. 40 000 ne reviendront pas. Ce sont les proportions du génocide dans les communautés juives de France ou d’Italie pendant la seconde guerre mondiale. »
Olivier Favier
« Aube écumeuse, tu nous surpris assombris et seuls,
alors que nous partions pour toujours. »
Ubax Cristina Ali Farah
« Les populations les plus favorisées ont quitté la ville. Ceux qui restent aujourd’hui, en dehors des seigneurs de la guerre et de quelques marchands, ce sont les plus pauvres, ceux qui n’ont jamais pu partir. Ils sont totalement dépendants de l’aide qu’ils peuvent recevoir. »
Pascal Maitre
« À Beyrouth, pendant la guerre civile, les taxis avaient imaginé un système efficace de signalisation: chaque matin, selon un code qu’ils étaient seuls à connaître, ils mettaient des bouteilles vides aux coins des rues pour indiquer le degré de dangerosité du quartier. Mais à Mogadiscio c’est différent. Il n’y a pas de différence nette entre les factions en lutte: ici tout le monde tire sur tout le monde. »
Giovanni Porzio