Douarnenez 2022, Gras doubles (podcast)

 
Des carnavaliers de Douarnenez se font photographier au Larvoratoire et racontent leurs « Gras ».

Du féminin universel : « les femmes s’exposent » à Houlgate jusqu’au 8 août 2021, par Olivier Favier

 
« Les yeux d’Adèle Haenel -leur vert immense- fixent une mer obstinément bleue. On se demande qui des deux finira par l’emporter. »

Olivier Favier

Mohamed Zampou, pompier avant l’heure, attend d’être français, par Olivier Favier

 
« Le jeune homme accroché au deuxième étage d’un immeuble en flammes dans le quartier de la Bottière à Nantes s’appelle Mohamed Zampou et il a 23 ans. »

Olivier Favier

Éternel transitoire, par Olivier Favier

 
« En attendant la fin du monde, Maurizio Leonardi continue de montrer des scènes qui se jouent de l’Histoire, comme si, dit-il, « on ne pouvait rien y changer ». »

Olivier Favier

La Convention nationale de l’accueil et des migrations: une « offensive positive », par Olivier Favier.

 
« Grande-Synthe est l’un de ces lieux prétendument périphériques où se conjuguent aujourd’hui réel et imaginaire, lucidité et créativité, loin des peurs et des fantasmes qui rendent les catastrophes possibles. »

Olivier Favier

Je n’ai pas encore commencé à vivre (extrait), par Tatiana Frolova et le théâtre KnAM.

 
« Pour évaluer l’ampleur des tragédies du passé russe, nous comptons généralement les morts.
Pourtant, ce ne sont pas les morts qu’il faut compter, mais les survivants. »

Vladimir Yakovlev

Clisson, par Gustave Flaubert.

 
« Voilà bien l’éternel et beau rire, le rire éclatant de la nature sur le squelette des choses. »

Gustave Flaubert

Beauté de ce monde, par Ilarie Voronca.

 
« Chaque tristesse est là pour couvrir un miracle. »

Ilarie Voronca

Un siècle de guerres et de violences de masse, par Olivier Favier

 
« Dans le regard occidental, ce que l’historien britannique Eric Hobsbawn a appelé le « siècle court » s’ouvre dans la violence pour s’achever sur la mort symbolique des idéologies.  »

Olivier Favier

La soif et la source, par Louis Aragon.

 
« Que suis-je de plus que ton chiffre
Un signe entre autres de ta vie
Le verre bu qui demeure ivre
À son bord des lèvres qu’il vit »

Aragon